CGT Educ'Action

1er degré

L’éducation prioritaire que nous voulons

Avril 2024

Lancée en 1981, la politique d’Éducation Prioritaire est passée d’une recherche de la réussite de toutes et tous à une logique d’extraction individuelle de quelques un·es. Le tout dans le cadre d’un saupoudrage des moyens, d’une multiplication des labels et d’une territorialisation galopante.
La CGT Éduc’action refuse cette politique. l’Education Prioritaire doit se fixer comme objectif l’égalité réelle d’acquisition des savoirs et des moyens d’émancipation. Elle doit aussi permettre une réelle égalité d’accès des élèves aux parcours scolaires de leur choix, quelle que soit leur situation sociale.
La cible de cette politique doit être l’ensemble des élèves scolarisé·es dans les écoles et les établissements qui concentrent le plus de difficultés sociales, à l’opposé des logiques de contractualisation et d’individualisation comme les CLA (Contrats Locaux d’Accompagnement).

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GUIDE PRATIQUE LE REMPLACEMENT DANS LE 1ER DEGRE

Février 2024

Les missions des personnels remplacants

Chaque remplaçant·e est rattaché·e administrativement à une école.
Les titulaires remplaçant·es peuvent assurer des missions sur tout type de poste : maternelle, élémentaire, primaire, prison, centre éducatif fermé et ASH (ULIS, IME, ITEP, SEGPA, UPE2A …)

Lire la suite dans le guide de la CGT Educ'action

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Lettre d’information nationale 1er degré - grève 1er février

Janvier 2024

Sommaire :
-Edito
-1er Février : mobilisation générale dans l'Éducation
-L’uniforme, vieille lubie réactionnaire…

Télècharger la lettre d'information

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Moyens budgétaires pour la rentrée 2024

Janvier 2024

Prévisions du rectorat pour la rentrée 2024 (nombre d'élève dans le premier degré) :

La proposition budgétaire pour la rentrée 2024 :

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Les évaluations d’école, c’est toujours NON

Communiqué intersyndical

À l’initiative du Conseil d’Évaluation de l’École, instance créée par la loi « pour une École de la confiance », les autorités académiques imposent aux personnels les évaluations d’école, composées d’une auto- évaluation que doivent mettre en œuvre les équipes, et d’une « évaluation externe », qui peut parfois s’apparenter à un véritable audit, menée par des groupes d’évaluateurs constitués par les DSDEN.

Au moment où les conditions de travail sont dégradées comme jamais et principalement par le manque de personnels, notamment dans le remplacement, dans les RASED ou dans l’accompagnement des élèves en situation de handicap, et alors que le ministre prévoit 1709 nouvelles suppressions de postes d’enseignantes et enseignants du 1er degré à la rentrée 2024, comment peut-on demander aux personnels de « s’auto- évaluer » ?   Lire la suite du communiqué

Télécharger le courrier intersyndical au ministre de l’Education nationale

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RENTRÉE 2023  GRANDE PAGAILLE DANS UN DÉSERT ADMINISTRATIF

Dans de nombreuses académies comme Lyon, La Guyane, Aix- Marseille ou Paris, la rentrée scolaire 2023 s’est révélée particulièrement chaotique. Plusieurs dysfonctionnements liés notamment aux affectations des temps partiels et au positionnement des listes complémentaires ont, par un effet domino, mis à mal le fonctionnement des écoles et les conditions de rentrée. Les OS avaient alerté l’administration depuis longtemps sur les problématiques de fond. En vain, la loi de Transformation de la Fonction publique de 2019 a fait son œuvre en mettant fin aux commissions paritaires et donc au contrôle possible des syndicats sur l’action de l’administration. Devant le fiasco quasi généralisé, l’administration a dû, dans l’urgence, faire des modifications d’affectations à la dernière minute. En bout de course, ce sont non seulement les personnels, mais aussi les élèves qui se sont retrouvé·es désemparé·es à la rentrée.  LIRE LA SUITE

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Je suis remplaçant·e… Comment ça marche ?

L’austérité budgétaire qui frappe l’Éducation nationale depuis des années a entrainé incontestablement une réduction du nombre de postes dans les départements. Pour absorber ces suppressions de postes sans impacter directement les écoles et l’encadrement des classes, les DSDEN ont été dans l’obligation de réduire leur « volume » de personnels remplaçants. Cette restriction a alors poussé l’Institution à redéfinir les intitulés, les missions et les affectations des remplaçant·es. Le résultat est la fusion, dans la majorité des cas, des postes de remplacement.

Pour y voir plus clair, la CGT Éduc’action fait le point avec et pour vous.  LIRE LA SUITE

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Et si j’osais me syndiquer à la CGT éduc’action ?

Alors que nos conditions de travail se dégradent depuis des années, que nos salaires décrochent et que continuent de pleuvoir les attaques contre nos conquis sociaux (retraites…) ou le Service public d’Éducation, il est plus que jamais nécessaire de renforcer le syndicalisme de lutte porté par la CGT Éduc’action. Plus que jamais, pour s’opposer et gagner face à des politiques réactionnaires et porteuses d’inégalités, nous avons besoin d’un syndicalisme renforcé d’un grand nombre d’adhérent·es et militant·es. Ensemble, portons notre projet pour gagner une École émancipatrice pour les élèves et les personnels.  LIRE LA SUITE

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LOI RILHAC

Septembre 2023

Nous y voilà donc ! Durant la pause estivale, le décret d'application de la loi Rilhac portant sur l’autorité fonctionnelle est paru, abrogeant de facto le précédent texte de 1989 qui régissait la direction d'école. Cette loi se veut être une réponse aux difficultés et au mal-être des directeur·trices dans l'exercice de leur fonction. Ce malaise, cette souffrance psychologique vécue par nos collègues directeurs·trices est indiscutable et, malheureusement amènent certain·es à des « solutions » extrêmes. Aussi, on ne pourrait que se réjouir de voir enfin cette souffrance prise en compte. Mais, que propose la loi Rilhac et va-t-elle répondre à ce malaise ? Rien n’est moins sûr…

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Difficultés scolaires et handicap...

septembre 2023

La loi de février 2005 sur le « handicap » a permis de nombreuses avancées pour la prise en compte des élèves en situation de handicap. Si l’on peut s’en réjouir sous certains aspects, il faut cependant rester vigilant·es car sous couvert d’inclusion, le ministère et le gouvernement en ont profité pour libéraliser et « marchandiser » le champ du handicap et les prises en charge. La généralisation de l’inclusion scolaire permet aux politiques de mettre davantage en concurrence les structures-les élèves-les personnels, d’externaliser et libéraliser les prises en charge, mais aussi de développer la culpabilisation des individus (élèves-familles étant renvoyé·es à leur propre échec et/ou personnels accusé·es de ce même échec). Tout ceci est fait bien évidemment pour que l’État se désengage, ne prenne pas ses responsabilités quant à la véritable prise en charge institutionnelle.

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Salaire Pourquoi ne pas pactiser dans le 1er degré

Septembre 2023

Des Promesses non tenues

La question salariale est prégnante pour tou·tes les professeur·es des écoles car ils·elles font toujours face à une flambée inflationniste historique tout en étant parmi les personnels les moins bien payés. Les annonces gouvernementales sur les salaires ne vont pas rattraper le décrochage salarial des 20 dernièers années… Cette « revalorisation » (au-delà des 1,5% de la valeur du point d’indice de juillet) se compose d’une partie Socle versée à tous ces personnels (indemnité ISAE d’environ 100€/mois minimum) et d’une éventuelle partie Pacte pour celles et ceux qui accepteront d’exercer des missions supplémentaires ou le pourront. C’est le reniement de la promesse gouvernementale de reconnaitre le travail et l’engagement des PE… Méprisant et dangereux pour le fonctionnement collectif des écoles.

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Evolution de la classe ex dans le 1er degre : Mode d'emploi

Septembre 2023

Parmi les mesures salariales ministérielles, figure une modification d’accès à la Classe exceptionnelle qui touche actuellement 10% des personnels PE. L’idée n’est pas d’augmenter ce taux, mais d’en changer les conditions d’accès et d’évolution. Le décret du 5 août 2023 (pour le télécharger) modifie le contingentement en le « linéarisant », c’est-à-dire qu’à compter de 2024, il n’y aura plus qu’un seul vivier pour la Classe exceptionnelle. Il instaure aussi 3 chevrons en fin de grille, équivalent aux anciens « chevrons » (accessibles automatiquement au bout de 3 ans au 4eme échelon de ce grade). Récapitulatif des changements…

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Salaire 1er degré - La partie SOCLE - La partie pacte

SOCLE

Alors que le gouvernement nous avait promis des augmentations de salaire historique de l’ordre de 10%, il n’a tenu aucune de ses promesses. Si pour la CGT Éduc’action il n’y a rien d’étonnant car il n’y a rien à attendre de ce pouvoir, les victimes sont une nouvelle fois les personnels. L’inflation les enferme dans une spirale très dangereuse pour leur pouvoir d’achat et les seules réponses fournies aujourd’hui sont méprisantes : primes et travailler plus...

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PACTE

Le pacte cest un engagement contractuel annuel renouvelable avec lettre de mission entre ladministration et les volontaires.
Pour les enseignant·es du 1er degré, cest 1 à 3 missions «complémentaires» (synthétisées dans des Briques), cumulables et chacune
rémunérée 1250 € brut par an (sur 9 mois en fait)...

Lire la suite pour la partie pacte

 

Motion du Conseil des maitre·sses contre le Pacte enseignant

En doc    en pdf

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